Voici un texte qui n’est pas moi, que j’ai trouve au fil de mes lectures (Lire le texte sur FDesouche). Ne vous laissez pas rebuter par la longueur de cet article car il vaut la peine d’être lu. Ce texte positionne l’immigration chinoise dans le contexte des autres immigrations présentes en France.
A tout seigneur, tout honneur: l’auteur en est Diabolo.
Il me semble que le problème n’est pas de savoir ce que les asiatiques peuvent apporter à notre pays, mais de savoir avec qui on supporte de vivre.
Je n’ai absolument rien contre l’immigration asiatique telle qu’elle est en France, c’est à dire en quantité raisonnable à échelle nationale, parfaitement intégrée au système, souvent très bien assimilée culturellement et dans tous les cas respectueuse de la population autochtone.
Si un jour des boat-people chinois commençaient à débarquer par millions sur le littoral français pour venir coloniser des villes entières, obtenir la priorité sur les logements sociaux, organiser de gigantesques arnaques immobilières en répandant la terreur dans certains quartiers afin de faire chuter les prix du foncier et ainsi les racheter pour un bol de riz, monter des organismes soutenus par la prostitution médiatique et les pouvoirs publiques pour nous imposer leur volonté, exiger des quotas de présence dans les médias ou les entreprises, faire la tournée des plateaux de télévision pour nous culpabiliser sur notre histoire et nous donner des leçons de civilisation, imposer la construction de temples bouddhistes ou taoïstes sur le dos du contribuable, pomper sans vergogne les caisses d’allocations familiales, bloquer des rues entières pour prier le cul en l’air sur le bitume, recevoir des subventions pour monter des studios de rap dans leur quartier et insulter notre pays en toute impunité, s’entasser dans les halls d’immeubles tous les soirs laissant derrière eux un mélange d’odeur de pisse et de haschich lorsqu’ils montent dormir jusqu’à 14h le lendemain, balancer leurs ordures par la fenêtre, faire exploser les chiffres de la criminalité ou du trafic de drogue et en détenir le monopole, remplir les pages de faits-divers et les prisons à ras-bord, transformer nos établissements scolaires en coupe-gorges approvisionnés en crack et nos lieux publiques en dépotoirs mal famés parsemés de flaques de glaviots, provoquer l’effondrement du niveau d’enseignement par leur incapacité à accepter d’apprendre quoi que ce soit, rouler vitres ouvertes et musique de merde à fond en berline allemande flambante neuve payée par la vente de cocaïne ou les braquages de banques, forcer la porte des gens pendant qu’ils dorment pour les cambrioler et les séquestrer, lapider les policiers qui leur demandent leurs papiers d’identité, préparer des bombes artisanales prêtes à exploser à la gueule des pompiers qui viennent les sauver, agresser les médecins qui viennent les soigner, racketter les facteurs qui viennent leur apporter leur courrier, violer collectivement nos filles ou nos sœurs dans des caves, empêcher les commerçants de faire leur métier dans leur ville natale, remplacer les quatre cinquièmes des joueurs de notre équipe nationale de football, sortir dans les rues par milliers pour tout brûler que leur équipe préférée gagne ou perde, se faire embaucher en tant que vigile ou éducateur pour tenter de calmer leurs petits-frères et résoudre les problèmes d’insécurité qu’eux-même ont engendrés, pondre des gosses à la chaîne tant que la vulve de leurs cinq femmes peut faire sortir quelques chose, interdire aux femmes de montrer leurs cheveux, leurs épaules ou leurs genoux, ce jour-là, je verrai les choses sous un autre angle.
En attendant, la place de parasite à haute nocivité est déjà occupée par d’autres communautés et c’est de celles-ci dont il faut nous occuper en urgence. Parce que si je peux vivre sans aucun problème avec une ou deux familles asiatiques sur mon palier, je ne pourrais pas supporter la promiscuité avec certaines autres catégories d’individus. Bien sûr, je ne désigne personne, mais il y a tout plein d’indices dans le paragraphe précédent pour deviner lesquelles.
Diabolo